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24 janvier 2017 2 24 /01 /janvier /2017 10:10

Quelle que soit la longueur de la nuit, le jour viendra !

Proverbe Béninois

... à méditer et surtout à ne jamais oublier !

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23 janvier 2017 1 23 /01 /janvier /2017 09:56

N'insulte pas un crocodile lorsque tes pieds sont encore dans l'eau.

Proverbe d'Afrique du Sud...

à transposer pour chaque pays...

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N'insulte pas ce gros costaud qui court plus vite que toi...

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Proverbe de Nénette... qui ne rentrera pas dans le dictionnaire des proverbes, vous pouvez faire beaucoup mieux...

j'attends les vôtres...

 

... 

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22 janvier 2017 7 22 /01 /janvier /2017 10:30

yeux gif 011

Sur le site DMLA-INFO, il est question de la prise en charge de la maladie en ces termes : "Bien qu’elle ne figure pas sur la liste des 30 ALD, la DMLA peut être reconnue comme une affectation de longue durée. Pour plus d’informations, demandez conseil à votre médecin." (Ndlr 01/02/2020 : ICI se trouvait un lien que j’ai conservé néanmoins cet article bien qu'il ne concerne plus ce sujet mais il est relatif aux aides optiques... utile donc !)

Ceci est confirmé sur le site de l'Assurance Maladie, Amélie http://www.ameli-sante.fr/dmla/dmla-vivre-avec-sa-maladie.html  : " Votre médecin traitant, en lien avec l’ophtalmologiste, pourra demander la reconnaissance de votre maladie au titre d'une affection de longue durée hors liste. Si un accord est donné, vous bénéficiez par l'Assurance maladie du remboursement à 100 % des soins en rapport avec la DMLA, selon les tarifs en vigueur, hors dépassements d’honoraires".

Par ailleurs, sur cette même page, vous trouverez des informations sur les différentes prises en charge que j'évoquais dans mon article précédent sur la DMLA.

Si vous désirez laisser un commentaire, cliquez en-dessous, je vous répondrai... d'autres lecteurs pourront également le faire !                            

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21 janvier 2017 6 21 /01 /janvier /2017 07:36

yeux gif 011

Je vais essayer de résumer la page d'un site dont vous trouverez le lien en fin d'article.

Il s'agit du site "Guide-vue" sur lequel sont listées toutes les maladies dont nos yeux, si fragiles, peuvent souffrir.

Evidemment, cette page correspond à la DMLA et à mon avis, il est clairement expliqué, bien que succinctement, le parcours que devrait suivre toute personne dont la DMLA est installée.

Première étape, l'opthalmo qui diagnostique et effectue la prise en charge de la maladie. Puis, rééducation et réadaptation fonctionnelle par l'orthoptiste qui apprend à utiliser la vision périphérique à la place du champ visuel central, il doit également apporter un soutien psychologique au malade. Enfin et seulement lorsque la rééducation a porté ses fruits, acquisition du matériel que le malade estimera utile selon ses besoins chez un opticien lunetier spécialisé en basse vision.

Ce qui me semble important c'est d'une part de ne pas dramatiser et d'autre part, de ne pas chercher à brûler les étapes car par exemple acheter du matériel basse vision s'avérerait inutile si on ne sait pas utiliser sa vision restante...

http://www.guide-vue.fr/la-sante-de-vos-yeux/pathologies-adultes/traitement-de-la-dmla

 

Pour demain, je ferai des recherches afin de connaître les modalités de prise en charge de ces différents suivis en espérant que ce soit mieux pris en considération que ne l'est tout ce qui touche à la correction visuelle. (ndlr 01/02/2020 : à faire...) 

... et n'hésitez ni à donner votre avis ou des précisions, il suffit de cliquer sur "commenter cet article" ! 

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20 janvier 2017 5 20 /01 /janvier /2017 10:00

Un sourire coûte moins cher que l'électricité mais donne autant de lumière

Citation de l'Abbé Pierre...

... Souriez !

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19 janvier 2017 4 19 /01 /janvier /2017 14:56

Il n'y a qu'un chemin pour le bonheur c'est de cesser de nous tracasser pour des choses qui ne dépendent pas de notre volonté !

Citation d'Epitecte, philosophe grec...

...à appliquer sans modération

kj3

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19 janvier 2017 4 19 /01 /janvier /2017 11:13

Il y a très longtemps que je n'avais rien écrit sur ce blog hormis de rares mises à jour, après vérification, mon dernier article date de 2014 !

J'ai pas mal bricolé pendant ces quelques années et bien que ce soit un peu en décalé étant donné que les fêtes sont passées, je voulais vous parler de mon nouvel arbre de Noël "écologique", réutilisable. Il est vrai que je viens juste de le démonter et surtout que j'ai toujours un train de retard.

Un adorable bambin, aujourd'hui âgé de 17 mois, est venu agrandir la famille, mon petit-fils Nino !

L'an dernier, il n'avait alors que quelques mois, il s'est à peine rendu compte qu'il y avait du changement dans le décor.

Mais, pour ma part, je voulais "marquer le coup" afin de communiquer une part du grand bonheur et du changement que ce petit bonhomme apportait dans ma vie... et celle de son grand-père évidemment ! Même si nous ne sommes pas au premier rang de sa vie quotidienne, nous en faisons partie, cela nous donne une formidable envie de nous dépasser, de faire notre maximum pour le rendre heureux.

Un bien grand discours pour un petit sapin mais les habitués du blog, s'ils repassent par là, savent à quel point je peux être bavarde... par écrit !

Donc, depuis plus de 10 ans, en fait depuis que notre fille a pris son indépendance, j'avais troqué le vrai sapin contre un malheureux sapin artificiel que je décorais à grand renfort de guirlandes.

Après avoir envisagé un retour au sapin naturel, j'abandonnais l'idée car je craignais (j'ai toujours beaucoup de craintes par rapport à mon Nino, peur surtout qu'il se fasse mal !) qu'il ne se pique ou qu'il le tire et se le fasse tomber dessus. Il me fallait donc trouver quelque chose de léger mais solide tout de même. C'est donc naturellement que j'ai pensé au carton. Naturellement car je m'étais préalablement essayé au "cartonnage" afin de réaliser des présentoirs à vernis sur mesure pour ma fille : un jour j'écrirai, peut-être, un article là-dessus ! (ndlr 13/02/2020 : article écrit, si intéressé(e)s voici le lien ICI.)

Mais aussi, récemment, sans attendre Noël, j'avais fait, très vite et sans me préoccuper des finitions du tout, une petite maison en carton destinée en premier lieu à servir d'aire de jeu à mon petit-bébé et aussi de coffre à jouets lorsqu'il n'est pas avec nous. J'avoue que comme décor dans la salle à manger, c'est un peu spécial mais on s'habitue... (J'insérerai une photo ultérieurement car mon appareil m'a fait faux bond, juste avant les fêtes !)(ndlr 13/02/2020 : la photo dont il était question ci-dessus... avec un léger retard !)

 

J'avoue que cela a été relativement fastidieux de découper toutes ces branches car évidemment je n'ai pas de matériel véritablement adapté. J'ai utilisé un double décimètre pour les mesures... et le plus pénible : un simple cutter pour découper le carton (pas du carton tout mou, double épaisseur le carton !). Quoique, coller les branches sur toute leur longueur en laissant un espace non encollé au centre afin d'y passer le tuteur, n'a pas été simple non plus car je n'avais pas de pistolet à colle chaude mais de simples tubes de colle, pas non plus de serre-joints. Donc, moyens du bord, entre autres de gros bouquins, type dictionnaires pour faire des poids... mais le bricolage, le vrai, c'est ça !

Pour ceux qui sont équipés d'une scie sauteuse, il suffit d'encoller deux cartons de la hauteur du sapin qu'on veut faire. Se débrouiller pour ne pas encoller un espace au centre sur toute la longueur afin d'y insérer le support (le mien était un gros tuteur mais vous pouvez utiliser tout aussi bien un quelconque morceau de bois lisse, recycler un ancien pied de parasol, etc...). Puis, tracer un triangle, dessiner des branches, découper à la scie, peindre... ou pas d'ailleurs, décorer à son goût. 

Et voilà le résultat de la première année. Je n'avais pas eu le temps de tout peindre, notamment la partie représentant le dessus et le dessous des branches et on y voyait les ondulations du carton....

Mais cette année, étant donné que mon Nino est déjà très curieux de ce qui l'entoure, j'ai commencé à fignoler.

D'une part, j'ai décoré le pot qui sert de support, d'autre part, j'ai aussi fait quelques dessins sur les galets et pour finir j'ai vaguement repeint le dessus de quelques "branches" en blanc afin de simuler la neige.

En entrant,son petit doigt pointé vers le fond de la pièce et sa bouille resplendissante quand il a dit "apin", tout cela était non pas un cadeau que je lui avais fait mais un cadeau qu'il me faisait lui ! Ensuite, il a découvert tous les "papa No" sur les galets mais aussi "enard" et les "miaous" ses yeux toujours aussi brillants, mais ceci est une autre histoire... une nouvelle envie de bricolage, je l'avoue découverte sur Internet mais dont l'idée me plait beaucoup : décorer des galets, des cailloux...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour l'an prochain, je me suis fait un pense-bête afin de ressortir tout ça assez tôt et de terminer le travail au papier kraft collant sur les branches, puis finaliser avec un coup de peinture verte et du blanc pour la neige.

 

 

Donc rendez-vous l'année prochaine, pour une petite mise à jour, à moins évidemment que l'envie d'écrire à nouveau me quitte ou que je manque de temps.... mais je préfère vous dire "à l'année prochaine !" (ndlr 13/02/2020 : Noël 2019 le sapin a bien résisté aux années, des CD complètent la décoration, placés sur l'arrière du sapin , ils multiplient les lumières des guirlandes électriques, photo ci-dessous)

 

Si vous avez envie de commenter (vous allez devoir chercher un peu pour trouver la case "Commenter Cet Article" quelque part plus bas car c'est vraiment écrit en lettres minuscules), surtout allez-y, je verrai ainsi que quelques personnes lisent mes élucubrations !                        

 

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 16:42

Je me remets à scribouiller et j'ai donc commencé à mettre mes articles "Santé"  à jour... maintenant, je ne sais pas si je vais continuer, ceux qui passent régulièrement savent que je suis un peu l'Arlésienne de mon propre blog ! 

Pour les anciens : ne relisez pas tout, vous me connaissez, je suis déjà tellement bavarde vous n'arriveriez pas à la fin ! Lesdites mises à jour sont en fin d'article... !! Pour les éventuels nouveaux lecteurs, à vous de voir :)

Mise à jour le 27/01/2020 de l'article Viscosupplémentation du genou - Arthrose.

Mise à jour de l'article pseudo polyarthrite rhizomélique. 

Mise à jour de l'article sur mes problèmes dentaires.

 

Au fur et à mesure que je ferai des mises à jour, j'ajouterai les liens au début de la liste ci-dessus...

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 09:04

Ce nouvel article explique partiellement ma « démission » de ce blog que j’ai pourtant pris tellement de plaisir mais aussi de temps à concevoir et à voir s'étoffer. Je précise que je ne le regrette nullement car mes lecteurs ont été fidèles et toujours adorables.

 

Depuis déjà longtemps, j’ai été diagnostiquée fibromyalgique.

Cette maladie est, disons "bizarre", dans la mesure où elle est difficile à diagnostiquer : les examens médicaux courants sont tous négatifs.

De plus, selon les malades, elle est plus ou moins invalidante.

Pour moi, elle est devenue de plus en plus handicapante au point de me rendre inapte au travail, raison pour laquelle j’ai failli être licenciée car à l’époque elle n’était pas du tout connue, reconnue. On peut même dire qu'elle était complètement inconnue pour certains membres du corps médical dont les fameux médecins conseils. Mais, j’ai tout de même réussi après plusieurs recours à obtenir une mise à la retraite (au taux minimum et définitif) pour invalidité mais sans pension d’invalidité. En effet, bien que la plupart des gens considèrent les fonctionnaires comme des privilégiés ce n’est pas vraiment le cas lorsque nous devons cesser le travail pour invalidité ni même lorsque l’on est en bas de l’échelle : il faut faire un grand distingo entre les barreaux tout en haut et les autres.

Dans la fonction publique la pension d’invalidité n’existe pas. Si vous devenez inapte au travail et impossible à reclasser, vous êtes mis à la retraite pour invalidité et comme évidemment vous n’avez pas cotisé suffisamment (dans mon cas seulement 20 ans dans la fonction publique, les années dans le privé ne comptant évidemment pas !), ladite retraite ne peut être que minimum. Alors que dans le privé, lorsque vous arrivez à l’âge légal de la retraite, vous cessez de percevoir la pension d’invalidité logiquement remplacée par votre retraite, celle-ci est calculée à taux plein comme si vous aviez travaillé tout le temps. Bien sûr elle sera peut-être moindre que si vous aviez continué car vous auriez pu avoir des promotions mais malgré tout, elle sera calculée sur vos meilleures années de travail. Ces nantis de fonctionnaires quant à eux, à l’âge légal de la retraite, ils continuent à toucher leur retraite minimum…. 

 

Là, je me suis encore égarée… (mes fidèles dont je parlais plus haut sont habitués) ce n’est pas du tout le propos de cet article.

 

Autre parenthèse (pas tout à fait sans rapport, vous comprendrez ensuite) j’avoue que c'est le fait d'avoir arrêté le travail qui m'a permis d'aller un peu mieux mais il est évident que je n'avais pas le choix... une loque humaine ! Dans les 3 ou 4 années qui ont suivi, mon état s’est amélioré, peu à peu les grosses crises (c’est à dire l’état permanent dans lequel je suis restée entre 1997 et 2003-2004) sont devenues plus courtes, moins nombreuses.

J’ai même eu quelques vraies rémissions pendant lesquelles je n’avais plus mal nulle part, en l’occurrence, chaque fois que je partais en vacances au bord de l’océan.

Mais en dehors de ces grosses crises, comme toute bonne fibromyalgique, il ne se passe pas un jour, sans que j’ai une douleur plus ou moins forte, à un endroit ou à un autre. Je m’y suis habituée, au point de les oublier complètement, les jours où elles sont moindres, elles sont supportables, elles deviennent tellement banales une fois habitué à l'idée qu'elles ne nous quitteront jamais tout à fait…

En fin de compte, je pense que le corps a une capacité d’adaptation formidable. De plus, on apprend peu à peu à ne pas en faire trop. Au début, c’est difficile, puis lorsqu’on réussit à lâcher prise et à vivre au jour le jour, c'est-à-dire, à planifier son travail sur une période plus longue quitte à s’arrêter en plein milieu de ce que l’on a commencé, on se sent un peu mieux.

Il faut aussi apprendre à varier ses occupations et c’est là que l’habitude d’écrire m’était apparue comme salutaire car au milieu d'une activité dont je n’avais pas réussi à venir à bout, je passais sur mon blog jusqu’à ce que la position assise devienne moins supportable… et je revenais à ce que je faisais avant… ou pas !

Ce qui n’est pas fait aujourd’hui le sera demain… ou plus tard. Quand on entreprend quelque chose, on ne se dit jamais « je sais que je ne vais pas le finir » car la plupart du temps, on continue jusqu’à ce qui est devenu pour nous la limite de nos forces, le problème c’est que cette limite est différente chaque jour et surtout bien différente de ce qu'elle a été. Le but, c’est de ne pas vivre sur des regrets, de ne pas culpabiliser : carpe diem !

Le plus difficile et le plus long à accepter, c'est de devenir non pas la charge de la société car j'estime n'être redevable à personne, j'ai assez cotisé pour ma mini-retraite, j'ai la chance de pouvoir me payer une mutuelle, etc... mais de ne plus en faire partie vraiment, on se retrouve sans statut réel... Mais ceci est encore une autre histoire !  

Tout ça pour dire, qu’entre les "grosses crises" pendant lesquelles tout est un peu plus compliqué, j’ai appris à gérer la maladie et je vis, je ne dirai pas très bien, mais au mieux avec cette fichue compagnie ! 

 

MAIS….

En juillet dernier, les douleurs se sont intensifiées, elles étaient même très très intenses, comme elles le sont d’ailleurs restées depuis… !

Localisées dans les deux jambes jusqu’en Septembre, période à laquelle nous partons en vacances, cette fois-ci l’air de l’océan ne m’a pas apporté d’amélioration.

Durant cette première quinzaine de Septembre, j’avais du mal à marcher néanmoins je pouvais encore faire de bonnes balades en vélo, mes articulations fonctionnaient encore bien.

Au début, j’ai cru à une crise particulièrement importante de fibromyalgie car je sais très bien que chez certaines personnes, même si je ne fais pas vraiment partie des moins atteintes, elle peut être encore pire et aller jusqu’au fauteuil roulant…

 

Début Octobre, je me suis décidée à consulter car j’avais de plus en plus de mal à marcher. Depuis cette époque, chaque pas est douloureux au niveau des hanches et des genoux lorsque le terrain est « en pente », monter un escalier est devenu un challenge.

Les examens ont commencé : radio des hanches (pas d’arthrose ni quoique ce soit… d’inquiétant) ; scanner du canal lombaire (j’ai un beau canal bien ouvert… là aussi parfait !).

Dit comme ça, ça semble simple et rapide, mais les délais pour avoir ces rendez-vous sont incroyables et pendant tout ce temps, j’ai continué à déguster comme on dit chez nous et à déguster grave comme disent les jeunes !

 

Fin Novembre, ça a empiré dans la mesure où j’ai commencé à avoir les mêmes douleurs dans les bras (davantage à gauche, heureusement je suis droitière j’ai donc gardé un peu d’autonomie) et les mêmes raideurs.

Mon médecin, m’a fait essayer plusieurs "calmants". Bien sûr, comme pour la fibromyalgie, les antalgiques courants n’ont été d’aucune efficacité.

 

Mi-Décembre, nouvelle consultation sans attendre la visite mensuelle car j’étais à bout… Là, mon médecin me connaissant depuis assez longtemps a compris que les douleurs avaient atteint une intensité préoccupante pour que je vienne entre deux contrôles. Elle a dû avoir le déclic… elle m’a dit qu’on allait essayer la cortisone ! Et miracle, dès le lendemain du début de traitement, diminution des douleurs, disparition totale après 3 jours. Toute bonne chose ayant une fin, 10 jours de traitement, on arrête, le lendemain ça va encore, le surlendemain j'ai de petites douleurs et très vite sur 3-4 jours tout devient aussi insupportable qu’avant !!

 

Fin Décembre, consultation, l’idée de ma généraliste se confirme, elle me dirige vers une rhumatologue… Nouvelle attente et cauchemar qui n’en finit pas car je n’obtiens un rendez-vous qu’à la mi-Mars…

Entretemps, il n’y a que les opioïdes qui réussissent à me calmer dans la mesure où la douleur est toujours là, je la sens bien… mais c’est comme si mon cerveau m'obligeait à l’ignorer complètement "va te faire voir ailleurs, cette nuit je dors !!". Le problème c’est qu’un jour ça va, par contre deux jours simultanés et bonjour les dégâts : nausées matinales, vertiges, sueurs froides… ! Un jour sur deux, sans trop souffrir c’était déjà mieux… même si un jour sur deux je ressemblais un peu à un zombie, je préfère encore une tête de zombie à ma tête grimaçante de douleur du deuxième jour !

 

Enfin, me voilà mi-Mars et le diagnostic est évident pour ma rhumatologue : pseudo polyarthirte rhizomélique.

Pseudo car les douleurs sont similaires à celles de la polyarthrite rhumatoïde mais elle ne se déclenche que tardivement à partir de 50 ans.

Définition : "syndrome inflammatoire caractérisé par d'intenses douleurs et une raideur aux muscles proximaux des bras et des jambes, sans affaiblissement musculaire connexe. Selon l'hypothèse actuelle, la maladie serait liée à une inflammation sous-jacente des vaisseaux sanguins."

Tous les symptômes sont là : douleurs, raideurs, manque d'appétit, perte de poids. De plus, contrairement à la fibromyalgie où tout est normal, l'examen sanguin révèle un taux élevé de Protéine C Réactive traduisant une inflammation et une vitesse de sédimentation également augmentée.

Le mot polyarthrite n'est pas rassurant mais je suis tout de même infiniment soulagée, moralement pour l'instant, car la bonne nouvelle c'est qu'on en guérit.

Le traitement non plus n'est pas rassurant puisqu'il s'agit de cortisone. Mais, à faible dose, seulement 10 mg par jour, les effets secondaires sont moindres.

Par contre, ça va être long et pas simple car il faut commencer par vérifier que ce dosage est suffisant ce qui doit se traduire par une diminution rapide -sous 8 jours- de l'inflammation.

Dans mon cas, étant sous anti-coagulants, je vais aussi devoir augmenter la fréquence de mes prises de sang (tous les 15 jours au lieu d'un mois) ; puis diminuer doucement la dose quotidienne sur une période de 6 mois à un an voire plus.

Il va aussi falloir que je passe une ostéodensitométrie car la cortisone entraîne de l'ostéoporose et il y a 10 ans j'étais déjà en ostéopénie état précurseur de l'ostéoporose...

La pharmacienne m'a dit "attention pas de sel, sinon..." mots accopagnés d'un geste des deux mains montrant que j'allais... doubler de volume ! Ma foi, si ne ne dois plus souffrir au pire je m'achèterai de nouveaux vêtements.

 

De tout ça, je retiens simplement que dès les prochains jours, je devrais arrêter de souffrir, du moins autant (car ma copine fibro ne va pas me quitter, la cortisone elle, elle n'en a rien à faire... mais entre elle et moi c'est une vieille histoire, c'est tout autre chose !).

Je vous assure que dans la définition parler de douleurs intenses me semble faible bien que je ne puisse trouver mieux !

Le pire ce n'est pas tant l'intensité qui est insupportable, tout le monde peut imaginer ce que cela fait de se coincer les doigts dans la portière d'une voiture, de se donner un bon coup de marteau sur un doigt, de se cogner dans l'angle d'un meuble, de prendre une porte dans la figure... etc. C'est surtout le fait que ça se renouvelle à chaque mouvement : faire un pas, bouger le bras trop vite ou dans le mauvais sens ou trop haut, vouloir remonter l'arrière de son col... en plus vous n'y parvenez pas, arrêté par la douleur... et le dépit, la colère viennent s'ajouter à la douleur. La nuit, à chaque tentative pour se tourner une nouvelle décharge douloureuse vous réveille et Dieu sait qu'au cours d'une bonne nuit de sommeil on ne reste pas dans la même position longtemps.

La nuit, c'est le pire car alors même que vous êtes parfaitement immobile, sans crier gare et paf un coup de couteau dans le bras... c'est pas assez, un autre dans la cuisse... et ça continue et ça suffit, tout le monde a compris... surtout d'ailleurs ceux qui ont vécu cette horreur.

 

Une première nouvelle un peu moins bonne : dans quelques cas, il n'y a pas de guérison et cela se transforme en polyarthrite rhumatoïde pure et encore plus dure. Vu mon palmarès médical, une gentille et toute simple pseudo polyarthrite machin me suffit amplement ! 

La deuxième étant que dans la moitié des cas la rechute est fréquente mais je ne vais pas m'inquiéter avant l'heure et me souvenir que dans la moitié des cas la guérison est définitive... carpe diem !

La troisième étant que j'ai peut-être mis la charrue avant les boeufs car je n'ai commencé le traitement qu'avant-hier mais j'étais tellement contente de mettre un nom sur tout ça et surtout de savoir que d'ici peu je devrais être soulagée que je n'ai pu m'empêcher de le raconter aussitôt ! Et déjà, les effets sont aussi spectaculaires que lors du précédent traitement mais il faut attendre au moins le résultat de la prise de sang de la semaine prochaine pour avoir un début de certitude ! Mais j'y crois très très fort et puis je ne suis pas seule à avoir ça puisqu'il y a environ 4 cas pour 1000 après 50 ans !

Pour ceux que la suite intéresserait, j'essaierai de faire une mise à jour lors de mes prochains rendez-vous de contrôle...  

 

Dans tous ces articles que j'ai pu écrire sur la santé et plus particulièrement sur la mienne, je tiens à bien préciser que je ne le fais jamais dans l'intention de me plaindre et encore moins dans celle de me faire plaindre car j'ai horreur de parler de mes problèmes même si tenir un blog peut donner l'impression inverse.

J'ose simplement espérer que ça pourra donner quelques informations à ceux qui en cherchent, les soutenir, les aider.

  

Je ne vous promets pas de revenir beaucoup plus souvent sur le blog car comme vous l'avez compris ma nouvelle devise étant carpe diem, je vais essayer de prendre un maximum de bon temps et cela n'inclut pas l'écriture du moins tant que je serai assez valide. 

 

mise à jour du 27/03/2014

Finalement, après 15 jours de traitement, il y a longtemps que je ne m'étais pas sentie aussi bien, vive la cortisone... c'est le début et j'espère que les effets secondaires ne me feront pas déchanter...

Pour le moment, mes douleurs ont presque toutes disparu et je revis, c'est incroyable comme on a envie de vivre quand on est resté des mois sans pouvoir pratiquement rien faire et en souffrant tous les jours !

Les 5 ou 6 premiers jours j'avais des nausées et plusieurs fois par jour, la chaleur me montait au visage et je devenais écarlate pendant quelques minutes et gros contraste, j'avais aussi des sueurs froides. Mais ces menus désagréments ont complètement disparu.

Un autre effet de la cortisone est d'empêcher le sommeil, ça va peut-être s'arranger, mais je ne dors qu'environ 4 à 5 heures par nuit, je n'ai simplement pas sommeil. Par contre, je me lève en forme, je dirais même que je suis surexcitée, va falloir que je me calme !!

Le principal étant que je n'ai plus de douleurs, donc, je vais en profiter au maximum... car bien que je sois d'un naturel très optimiste, je suis aussi réaliste et je sais bien que ça peut ne pas durer pour un tas de raisons...

Avant-hier, premier rendez-vous de contrôle chez la rhumato.

Elle m'avait fait faire une batterie d'analyses. Les principaux "marqueurs" étant la vitesse de sédimentation qui était à 48 mm est retombée à un taux normal de 6 mm et la Protéine C Réactive qui est passée de 7 mg/l à 1,1 mg/litre.

Il y avait aussi d'autres analyses vraisemblablement destinées à éliminer d'autres pathologies, sanguines : Hémogramme, hépathite B et C, cytomégalovirus, parvovirus V19, ASAT, ALAT, GGT, PAL, CPK, Lactate deshydrogenase, potassium, calcium, phosphore ; urée et créatininémie ; fer serrique, ferritine ; hormone de régulation phospho calcique.... et des analyses urinaires : calcium, proteinurie, phosphore. Tout cela était dans les normes.

J'ai oublié de préciser que je n'avais pas reçu les résultats bien que l'analyse ait été faite 8 jours plus tôt, j'ai donc appelé le labo avant de partir, la secrétaire m'a dit qu'effectivement ils ne les avaient reçus que le matin et qu'elle les envoyait aussitôt par fax à la rhumato.

Bien sûr, le fax ne fonctionnait pas et elle n'avait rien dans ses @, moyen habituel de transmission entre elle et le labo...

Donc, elle m'a dit que lorsqu'elle les recevrait, elle ne m'appelerait que s'il y avait quelque chose d'inquiétant.

Je les ai reçus moi-même aujourd'hui et si tout ce que j'ai énuméré ci-dessus est dans les normes, j'ai relevé quelques anomalies mais qui somme toute ne doivent pas être "inquiétantes" puisque je n'ai pas eu d'appel !

Pour commencer, le nombre de plaquettes est un peu élevé : 460 000 (mais merci Internet : pas inquiétant en deça de 600 000) ; acide urique un peu bas 21 mg/l ce qui peut venir des médicaments ; la sérologie Epstein Barr est positive "en faveur d'une infection ancienne" et pour finir j'ai aussi une hématurie 105 600 ml alors que ça devrait être inférieur à 10 000, ce sang dans les urines m'inquiète un peu mais là aussi ça peut venir des anti-coagulants...

Maintenant que je suis bien habituée à l'idée de la PPR (on est déjà devenues intimes, je lui ai donné un diminutif !) ça m'ennuierait de devoir la remplacer par une autre maladie pas forcément si docile à amadouer !

Donc, pour l'instant, étant donné que mon organisme a très bien répondu au traitement, je continue à 10 mg pendant une quinzaine de jours, ce qui fera un total d'un mois depuis le début du traitement. Puis, je passerai à 9 mg pendant un mois de plus, à 8, 7 etc.

Par contre lors de ces baisses successives de dosage si les douleurs repointent ne serait-ce qu'un tantinet le bout de leur nez, je dois revenir au dosage précédent et lui passer un coup de fil pour qu'elle me dise pendant combien de temps...

 

Pour ce qui est du sommeil, je fractionnais la dose 3/4 le matin et le reste le soir, je prendrai la totalité le matin... et ça devrait améliorer un peu la durée et la qualité de mes nuits !

Mais pour ça, j'ai aussi commencé à fureter sur Internet à la recherche de solutions non pas miracles mais naturelles et j'ai trouvé des vidéos sur la digipuncture ! Je vais les regarder de plus près car pourquoi ne pas essayer... ça semble assez simple à réaliser soi-même ! De plus, c'est une technique ancestrale de la médecine chinoise qui apporte aussi du soulagement pour les douleurs (ça tombe bien car il m'en reste toujours des chtites), la fatigue, le stress... du moins pratiquée par des spécialistes (j'ai cru comprendre que c'est ce que l'on appelle également sophrologie : à confirmer !). Pratiquée par auto-massages ce sera peut-être moins efficace !

Si j'observe de bons résultats, je me fendrai peut-être d'un nouvel article !

Prochain rendez-vous dans 2 mois et demi... avec résultats de l'ostéodensitométrie et d'une nouvelle analyse de sang plus sommaire : NFS, plaquettes, VS, CRP, ASAT, ALAT, GGT, PAL, urée et créatininémie afin de vérifier d'éventuels effets secondaires de la cortisone... et si je maintiens le cap, rendez-vous aussi pour une nouvelle mise à jour !

mise à jour du 17/01/2017

Après bientôt 3 ans de traitement, je suis toujours sous cortisone.

Entretemps, rendez-vous de suivi tous les trimestres. Comme préconisé par la rhumatologue, j’ai adapté la posologie en fonction de l’évolution, c’est-à-dire que je diminuais d’un milligramme par mois mais si après 3 ou 4 jours je ressentais à nouveau des douleurs au niveau des articulations, je revenais pendant un mois de plus à la posologie précédente.

Après 18 mois de traitement, en Septembre 2015, je suis enfin arrivée à tout stopper… Mais, après seulement 15 jours de répit, les douleurs ont recommencé. J’ai donc repris avec 5 mg et suivi le même cheminement mais en espaçant la diminution de deux mois. Depuis Février 2016, en-deça de 3 mg lorsque je voulais diminuer, les douleurs revenaient sous 2 jours seulement. Donc, je ne diminuais plus que d’un demi-comprimé et ce n'est qu'au mois d'Octobre dernier que je suis arrivée à 2 mg par jour. J'ai essayé de continuer à diminuer mais chaque fois, la récidive pointait son nez.

… et lors du dernier rendez-vous chez la rhumatologue, elle m’a expliqué, qu’il existait des formes cortico-dépendantes de la maladie et que je souffrais de cette forme-là. Donc, il faut que je continue à prendre mes 2 milligrammes par jour à vie.

Voilà, tant pis : un comprimé de plus par jour à vie, non deux parce que ça n’existe qu’en 5 et 1 mg…, soit un total de 5 ¼ (Matin : 1 pour le cœur ; 1 pour la thyroïde, 2 PPR et le soir 1 1/4 coeur… quand je n’ai pas besoin en plus d’antalgiques pour la fibromyalgie), ça reste très bénin et surtout pas du tout contraignant, un peu d’eau et hop ! Donc, tant que je n'ai pas de douleurs autres que celles de la fibro et surtout que je ne reviens pas à l'état de dépendance dans lequel j'étais tombée avant le traitement, tout est pour le mieux !

Ceci était une mise à jour pour info sur mon cas personnel, mais que les personnes qui sont là car elles ont un parent, un ami ou qu’elles sont elles-mêmes concernées, que lesdites personnes se rassurent, dans la plupart des cas, la guérison totale est au bout du traitement.

Précision : les douleurs ayant cessé rapidement avec la prise de cortisone, je n'ai jamais essayé la digipuncture !

..mais si vous voulez des précisions, des conseils pas forcément éclairés mais venant du vécu, n'hésitez pas à cliquer en-dessous "commenter cet article" et j'y répondrai... un jour ou l'autre !

 

 

 

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19 juin 2013 3 19 /06 /juin /2013 11:23

J'ai conservé l'intégralité de cet article "dans son jus" car sur chaque article j'ai passé et je passe encore du temps en recherches puis à rédiger : ainsi il en reste une trace avec quelques explications sur... l'actualité... de l'époque ! Donc, ne soyez pas étonnés si les liens vous conduisent... ailleurs ou sur des pages inexistantes (ndlr... 03/2017 !)

Du 24 au 28 Juin prochain auront lieu les journées de la DMLA.

 Au cours de ces journées vous pourrez bénéficier de dépistages gratuits.

 Profitez-en car sur place vous trouverez également des informations sur les symptômes de cette maladie.

Et surtout dès les premiers symptômes soyez réactifs car si vous êtes atteints de la forme humide de la maladie, la réussite du traitement dépend fortement de la rapidité avec laquelle il est administré.

 

Cliquez sur le lien suivant et vous trouverez une liste des professionnels qui participent à ces journées :

http://www.journees-dmla.fr.

Mode d'emploi : 

- cliquez sur "espace patients" ;

- vers la bas sur la droite de cette page : "Liste des ophtalmologues et des services participant activement aux journées DMLA" : cliquez sur "lire la suite" ;

- là, comme indiqué "Pour identifier les médecins ou les services dans votre ville, cliquez sur VILLE, ou CODE POSTAL"... 

- Après avoir repéré votre département, vous n'avez plus qu'à vous rendre chez l'opthalmo le plus proche, illico presto ! Mieux vaut un contrôle pour rien, qu'un contrôle où on vous annoncera qu'on va essayer le traitement... mais !

 

Comme l'an dernier, mon ophtalmo figure dans la liste des médecins ou services de Gironde, il est le seul médecin avec les CHU de Bordeaux Pellegrin et de Libourne. je vous disais bien que c'était un "bon" impliqué dans son boulot à fond !

 

Avant d'y aller, même si ce n'est pas précisé, utilisez le numéro de téléphone que vous trouverez sur la liste afin de savoir s'il ne vaut pas mieux prendre rendez-vous... Et s'il y a du monde, ne râlez pas : c'est gratuit et ça peut rapporter gros, ou plutôt éviter gros !

 

Quelques articles sur ces journées insérés au fur et à mesure de leur parution (liste évidemment non exhaustive) :

- sur Sud-Ouest.fr http://www.sudouest.fr/2013/06/10/depistage-de-l-oeil-1079705-1980.php

- sur Maville.com pour la région de Laval http://www.laval.maville.com/actu/actudet_-Degenerescence-maculaire-il-faut-se-faire-depister_une-2358048_actu.Htm

- sur La Dépêche.fr http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/18/1652640-plus-55-ans-appeles-depister-degenerescence-maculaire-lundi.html

- sur SantéAZ

http://sante-az.aufeminin.com/w/sante/n223877/news/dmla-journees-nationales-d-information-et-de-depistage.html

- sur la Voix du Nord (Tourcoing & Wattrelos)

http://www.lavoixdunord.fr/region/dmla-une-degenerescence-des-yeux-qu-il-faut-depister-ia26b0n1348397

- sur bienpublic.com (Dijon)

http://www.bienpublic.com/actualite/2013/06/21/septiemes-journees-nationales-d-information-et-de-depistage-de-la-dmla

- sur hauteloireinfos.fr (Le Puy en Velay)

http://www.hauteloireinfos.fr/detail_breves.php?id=1825

- sur lyonpremiere.com (CPAM du Rhône)

http://www.lyonpremiere.com/Degenerescence-maculaire-liee-a-l-age-information-et-depistage-proposes-par-la-CPAM-du-Rhone_a1403.html

- sur ici-c-nancy.fr (Nancy donc !)

http://www.ici-c-nancy.fr/index.php/actus/actualites/sante/item/5675-d%C3%A9pistage-gratuit-de-la-d%C3%A9g%C3%A9n%C3%A9rescence-maculaire-li%C3%A9e-%C3%A0-lage-dmla-%C3%A0-nancy

- sur lanouvellerepublique.fr (malheureusement on apprend qu'il n'y a aucun dépistage gratuit sur l'Indre !)

http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre/Actualite/Sante/n/Contenus/Articles/2013/06/26/DMLA-pas-de-depistage-dans-l-Indre-1525986 

 

...et n'hésitez pas à cliquer en-dessous " commenter cet article"  

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  • : DMLA débutante de nenette33
  • : DMLA débutante... ma vie quotidienne avec la progression de la maladie, les traitements et leurs résultats. Mais j'ai aussi une vie dans laquelle je fais tout pour oublier mes problèmes de santé... et ça ce n'est pas triste ! Dès l'apparition des premiers symptômes, le diagnostic est tombé très rapidement. Début du traitement sous quinzaine : 3 injections de Lucentis à un mois d'intervalle ! Stabilisée depuis 2009...
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  • Femme de 56 ans *, une nouvelle épreuve se profile à l'horizon. La partager devrait m'aider et je l'espère aider tous ceux qui sont confrontés à la même chose !
* à l'ouverture du blog... en 2009, calculez !
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